La Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d'arrêt contre Benjamin Netanyahou, qui a suscité des réactions internationales variées.
Alors que plusieurs pays ont confirmé leur coopération avec la CPI, la Hongrie a exprimé son opposition à cette décision.
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a annoncé qu'il inviterait Netanyahou à visiter la Hongrie, affirmant que son pays ne tiendrait pas compte de la décision de la cour, bien que la Hongrie ait ratifié le Traité de Rome de la CPI.
Les relations étroites entre Orbán et Netanyahou remontent à l'arrivée d'Orbán au pouvoir en 2010, avec une visite de Netanyahou à Budapest en 2017.
Les mandats de la CPI concernent également Yoav Galant, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité à Gaza.