Au 252ème jour de l'agression sioniste contre Gaza, les résidents restants du nord de la bande vivent une situation humanitaire sans précédent depuis le 7 octobre.
Selon des sources médicales, la famine s'est répandue de manière effrayante parmi la population de la région, qui est soumise à un blocus strict imposé par les forces d'occupation, empêchant toute aide humanitaire d'y parvenir, dans un silence international assourdissant.
Alors que l'administration Biden tente de tromper la résistance en proposant une initiative de cessez-le-feu et en essayant de la pousser à l'accepter sans en préciser les modalités, l'occupation continue d'utiliser les méthodes les plus atroces de la guerre, à savoir "la famine".
Le directeur de l'hôpital Kamal Adwan, Hossam Abu Safia, a déclaré vendredi dans une conférence de presse : "Nous avons enregistré des symptômes de malnutrition chez plus de 200 enfants dans la bande de Gaza." Il a précisé qu'une catastrophe humanitaire menace le nord de la bande de Gaza et que le spectre de la famine plane, soulignant que le nord de la bande de Gaza ne dispose que de farine comme denrée alimentaire.