Sadek Hadjerès est décédé, ce jeudi, à l’âge de 94 ans, après une longue lutte dans les rangs du mouvement national, qu’il a commencée dès 1944, l’année à laquelle il a rejoint le Mouvement du Peuple Algérien PPA, puis le parti du triomphe des luttes démocratiques MTLD, avant de devenir dirigeant d’un groupe des scouts musulmans.Il rejoint, ensuite, le parti communiste algérien en 1949 après la crise berbériste. Il est co-auteur du document « L'Algérie libre vivra », en plus de s’occuper du journal (Le Progrès) en 1953 et 1954.Avec son ami communiste Bachir Hadj Ali, il entame des négociations en 1956 avec les représentants du FLN à Alger (Benyoucef Benkhedda et Abane Ramdane) concernant l'intégration des troupes communistes combattants de la liberté (CDL) dans les rangs du FLN.Il était secrétaire général du parti communiste algérien après l’indépendance jusqu’au coup d’Etat qui a renversé le président Ahmed Ben bella, par Houari Boumediene et son clan en 1965.Il a été président du parti l’avant-garde socialiste depuis sa création en 1966. Il a vécu dans la clandestinité jusqu’à 1988, date de l’apparition du multipartisme en Algérie et était resté président de ce parti jusqu’à son retrait en 1991.
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